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PROGRAMME DES EXPOSITIONS 2024

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Du vendredi 12 avril au lundi 20 mai 2024

Christophe Galleron - Jean-Baptiste Née - Didier Legaré-Gravel - Gisèle Buthod-Garçon

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La montagne, le seuil et l’étendue
Quatre créateurs réunis pour fêter ensemble la montagne dont nous rêvons. Portrait d’un glacier en dessin d’animation né d’une résidence artistique au cœur du massif de l’Oisans de Christophe Galleron. Peintures de Jean-Baptiste Née inspirées par des séjours en montagne de plusieurs semaines ou mois en immersion. Mouvement bouleversé des gravures d’une nature contrastée aux forces démesurées de Didier Legaré-Gravel. Quand la terre se fait pierre, roc, glace dans les mains de Gisèle Buthod-Garçon, restée fidèle au raku

Deux rendez-vous dans le temps de l’exposition
Samedi 27 avril, 15h : lecture de Nanao Sakaki, par Danielle Faugeras
Mercredi 8 mai, 15h : lecture, projection et rencontre avec Christophe Galleron


POUR MÉMOIRE

Du 11 août au 17 septembre 2023

Catherine Gillet - Philippe Judlin - Benoît Pouplard

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Exprimer le temps
Il s’envole ou se fige. Notion fluide et insaisissable, il n’est pas des plus facile à représenter plastiquement. Peinture, gravure, sculpture lui font cependant écho et le temps de chaque artiste se lit dans son propre langage. La longue patience de graveuse de Catherine Gillet traduit magnifiquement le mouvement incessant ou capte l’instant suspendu. Benoît Pouplard crée des effondrements de porcelaine telles les forces telluriques à l’œuvre dans les glaces de ce grand nord qui l’attirent. Philippe Judlin a décidé, lui, de l’arrêter et nous fait saisir la durée qui a donné vie à ces moments de méditation.

Du 23 juin au 6 août 2023

Anne-Christine Tcheuffa-Marcou - Doris Schläpfer - Jo Winter

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Construire disent-ils
On peut construire avec du bois, de l’arbre choisi et débité d’une lame sûre, avec des couleurs que l’on attrape au vol – et la peinture et la cire donnent des matières somptueuses – ou de la pointe du crayon dans un va-et-vient nerveux de la main et du bras. Chacune de ces constructions a son langage propre et dialogue cependant avec les autres: « trio concertant » pour notre début d’été.

Du 14 avril au 29 mai 2023

Catherine Aerts-Wattiez - Laurent Delaire - Camille Virot

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Trois lettres au silence
C’est le silence de la nuit de Laurent Delaire où l’on pénètre pas à pas vers le reflet d’une lumière. C’est celui des cercles énigmatiques de Catherine Aerts-Wattiez et de ses pages repliées et cousues. Silence enfin des blocs de terre fermés de Camille Virot qui vibrent de la vie des mains et du feu. Ils nous parlent à travers le noir, le gris, ou les couleurs de la terre. C’est par cet écho d’un hiver où nous parvenaient les cris du monde que nous commençons notre saison vers la lumière et la couleur.

Du 5 août au 11 septembre 2022

Pierre Delcourt - Océane Madelaine - Perrine Simon

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Un peintre, Pierre Delcourt et une céramiste, Océane Madelaine, nous dépaysent ; c’est un grand souffle d’air venu des landes bretonnes. Leur art est d’espace et de vent. Le monde est devenu léger, il a le poids des bols sphères d’Océane si finement modelés et le mouvement des espaces peints de Pierre. Bols de mer et peintures se rejoignent dans un accord subtil.
Tout autre est le travail de Perrine Simon, présenté à l’étage : de la peinture par son propos, du collage par la technique choisie. Chaque papier posé, chaque déchirure est une aventure passionnante vers un nouvel équilibre soigneusement négocié.

Du 24 juin au 31 juillet 2022

Martine Cazin - Patrice Poutout

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Martine Cazin et Patrice Poutout : le dessin et la sculpture, un même espace ; tous deux ont fait le choix d’un langage simple, on pourrait dire minimaliste.
Patrice, il y a déjà plusieurs années, a dénudé le corps jusqu’à l’os, la structure, dressant celle-ci frontalement comme une gardienne de temple. Martine a abandonné couleurs et pinceaux pour ne plus utiliser que le crayon ou la plume et les signes simples laissés sur le papier.
Mais dans cette rigueur affirmée, il se passe beaucoup de choses : la courbe tendue à l’extrême de la sculpture n’est jamais rigide mais conduit le regard vers l’ailleurs, la subtilité du travail de surface adoucit l’austérité des formes et répond aux dessins. Et ceux-ci semblent parfois avoir pris corps dans les sculptures. Un beau dialogue entre deux arts à priori opposés.

Vernissage vendredi 24 juin à 18 h
accompagné par Adeline Lecce au violoncelle
en des instants choisis dédiés à l’écoute musicale.

Adeline Lecce, après une pratique d’orchestre intensive dès le plus jeune âge (répertoire lyrique et symphonique), des études complètes au CNR de Versailles, une licence de musicologie et une formation pédagogique au Cefedem d’Île de France, elle intègre le Conservatoire Royal de Bruxelles dans lequel elle obtient le 1er prix de violoncelle et de musique de chambre dans la classe de Marie Hallynck. Elle aime jouer l’étendue du répertoire, des cordes en boyaux aux dispositifs informatiques et aux créations de spectacles avec comédiens et acrobates ; de l’époque baroque à l’interprétation d’œuvres contemporaines exigeantes. Elle recherche les formes de représentations variées, celles où le mot devient son et le geste de(a)nse.

Du 15 avril au 29 mai 2022

Stefano Bianchi - Dominique Soudoplatoff

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Représenter n’est pas montrer. Photographier n’est pas montrer. C’est dire quelque chose de l’au-delà, du non visible. Quelque chose de l’intime de l’un – le créateur, le photographe – qui s’adresse à l’intime de l’autre – le spectateur, le passant. C’est pourquoi l’art est du domaine du don, donc de l’amour. C’est pourquoi l’art n’est pas du domaine de la connaissance, mais de celui de l’émotion.
J’ai été, je suis, émue devant une photographie de Stefano Bianchi, si subtile que je la confonds avec un impalpable lavis d’aquarelle (et ce ne sont que quelques vieilles petites boites de carton entassées), devant cette minuscule statue de marbre blanc de Dominique Soudoplatoff qui semble tenir le ciel sur ses épaules (mais quelle grandeur, quelle belle simplicité…).
Deux artistes qui, avec presque rien, la lumière sur une surface de papier, un visage entrevu gravé dans le métal, une silhouette dressée comme une attente, nous offrent leur lumière intérieure pour éclairer nos vies. Merci à eux.

Retour à la terre - Martine Cazin - 2021

Chers amis de la galerie et sympathisants,
Beaucoup d’entre vous savent qu’avant de créer la Maison de Brian j’étais céramiste. Au fil des années j’ai gardé quelques pièces intéressantes qui sont autant de jalons de cette passion.
Aujourd’hui, il est temps qu’elles me quittent.
Aussi, plaques murales, sculptures et modelages des années 1995 à 2005, y compris des « armures d’argile », seront mis en vente à tout petit prix, cet automne à la Maison de Brian, accompagnés de quelques peintures et dessins. L’occasion de revoir mon travail et de se faire plaisir en acquérant une pièce unique et originale.
Je vous accueillerai avec bonheur et serai heureuse de votre visite.
Martine Cazin

Du 3 au 31 août 2021

Catherine Crozon - Frédéric Daviau - Martine Trouïs

Contrastes
D’un côté un dessinateur, Frédéric Daviau, dont le classicisme du crayon n’est qu’apparent, de l’autre Martine Trouïs, une peintre de l’abstraction et du geste, qui parle de l’intime, et une céramiste, Catherine Crozon qui monte librement des sculptures de porcelaine blanche.

Du 26 juin au 31 juillet 2021

Magali Latil - Françoise Langlois - Paule Riché

Trois regards sur la nature
Magali Latil dont le dessin très fin s’attache à explorer le vivant minuscule des mousses et des lichens, Paule Riché dont le regard s’est arrêté sur les pierres du chemin et les rythmes qu’impose la géologie au paysage qui l’entoure, et Françoise Langlois qui utilise une matière naturelle, l’alfa, pour sculpter des formes organiques et légères.

Du 19 mai au 20 juin 2021

Françoise Van Heuverswyn - Claudine Meyer - Marie-Christine Béguet

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Dialogue de la ligne et de la tache
La même sensibilité, la même attention à la ligne et cependant deux arts très différents : Claudine Meyer modèle le plâtre d’où naitront les bronzes, Marie-Christine Béguet incise le métal ou le bois qui servira de matrice aux estampes. Chez toutes les deux, la ligne verticale impose sa rigueur mais sait rester vivante. Vivantes aussi les taches des couleurs subtiles et justes du dernier travail de Françoise Van Heuverswyn ; cet accrochage privilégie les petits formats, c’est une fête pour les yeux.